L’effet ne tient pas à la profondeur de l’état hypnotique (cela vaut pour toutes les techniques thérapeutiques, mais l’anesthésie en est un exemple impressionnant).
Validation « in vivo » sur une opération de la gorge durant laquelle la patiente, chanteuse, a chanté pour vérifier que l’opération ne touchait pas ses cordes vocales
http://www.lefigaro.fr/culture/2014/06/16/03004-20140616ARTFIG00051-operee-sous-hypnose-une-cantatrice-chante-pendant-l-intervention.php
En passant, la première anesthésie hypnotique ne date bien évidemment pas de « 1992 », comme dit dans l’article (sacrés journalistes !)… mais de 1829, par le chirurgien français Jules Cloquet, qui procéda à l’époque à l’ablation d’un sein en hypnose, pour cause de tumeur cancéreuse.